Quatrième de couverture
1829. Un Américain distingué (l'auteur) et l'un de ses amis, peintre de son état, arrivent à Grenade - cité oubliée perdue an milieu de ses montagnes, uniquement desservie par de mauvaises pistes qui sont autant de coupe-gorge - et se voient offrir pour quelques mois comme lieu de villégiature un palais à demi ruiné : l'Alhambra ! Ceci n'est pas un rêve, mais le prétexte, parfaitement réel de ce livre qui feint de se présenter comme un récit de voyage pour se transformer insidieusement en recueil de contes - les Mille et une Nuits de l'Andalousie en quelque sorte -, tous à la gloire d'une Espagne maure anéantie par la violence de l'histoire... mais toujours vivante dans le secret des coeurs. --Ce texte fait référence à l'édition Broché.
Contes de l'Alhambra
Washington Irving